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  • Silences

     

     

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    Depuis un volet cérébral, semble planer la maladresse. « Connaîtriez-vous une personne que Luna serait susceptible d’aider ? » (Une par tête) : c’est là encore un joli rythme qui s’impose, tandis qu’il n’y a rien ni personne à voir, personne pour qui bosser, se tendre… Bonjour et merci pour le fil à retordre d'une volonté perspicace en matière d'art brut et j'espère pour votre amitié. C’est complètement brouillon ! j’ai décidé d’un coeur ovale… - Je n’ai pas pu - pas pu quoi ? - abandonner mon père au secret familial. Il y a toujours quelqu’un dans le dessin à naître. Attaquons-nous à l’oeil de ce charmant ménage… - Aviez-vous végété souvent… au couvert d’un nid taciturne ? bébé du cas kiki et de charmante alcôve (le 22 juin en bis.)

     

    Traîtresse évanescente au cou du sans courage - tous ces mots dans ces morts et l’audace encombrée du vide : les mots comme une énergie stable, inutiles et à satisfaire (le 22 juin en triple.)

     

     

     

     

  • Silences

     

    Grenade.jpg

     

     

     

    Ma main tremble peut-être… j’eus perdu tant de la masse offerte au jeu d’une irisation souterraine - où c’est au bruit du toucher qu’on entravait l’épave. Pourra-t-on y voir quelque part où cette ombre animale nous mène ? J’ai préféré soudain qu’on y défît tout mon miroir ; - le défie ?! « Tous ces gens sont vivants » alors j’atteins ! je vois, je vole ! Abigaël ne faisait que passer dans l’urne à l’abri de tous ses regards. Comment voulez-vous que j’affirme ou me voir affirmer… C’est ainsi mon cerveau qu’on retient et l’expérience que je relativise… le désordre est assez important. Grand plat de spaghettis gluants… (- conduirait nulle part : la corde en guise de sa rampe astrale, SUJET DE HONTE et belle planque) la vie sans ressembler à la mienne, ou l’expression du jour et du saut dans le noir où cette porte claqua devant un mur - le bruit du fond de la matière amassée d’entrevues laiteuses. 

     

     

    Autre matière

    La lumière absente

    Brillance noire 

     

     

     

    C’est la trace qui me fait rejeter : chaîne humaine. Les mots qui sonnent sont entendus. - Il y a un grand bonhomme.. un doux visage.. un pot ?, - des pieds comme des ficelles ; ça bigle et ça retient. « C’est en apprenant… - qu’on apprend ! » : deuxième éclat de rire (et souvenir manquant) - plein des endroits dans l’unique caution où discrétion oblige. « C’est dans un petit nez qu’on voit la différence ! » - Arriviez-vous, sans fin ? clamerait-Elle en Archange décisif et tout parfait de l’embrasure des cieux… - J’ai cherché ce saut à la corde… Poudroiements, quel entassement ! Mon Dieu ! (de frais augures.) - C’est pour me souvenir, que j’aurais fait tout cela… mais, souvenirs de quoi ?! Il s’éloigne déjà… : - On verra ça, après ma mort. Merci alors aux morts de bien vouloir cohabiter, merci à ces cabanes rocheuses. Bah oui ! j’ai bien failli détruire ce jeune réseau qui ne servit qu’à me cloîtrer…

     

     

    Être soi-même

    Belles onomatopées !

    Lambris de l’Azur

     

     

     

    Merci mon gris ; - mon fils et mon fil, mes fiLs et mes fils - ma fille et le chat d’une aiguille - ma fille, et ma fille à Sa bave des bouches du vieux passage.

     

     

    Belle grenade

    Du haut de la floraison

    Un respect se doit

     

     

     

    Au nom de rien.

     

     

    Mouroir au miroir

    Encorné dérisoire

    Miroir au mouroir

     

     

    Manchon de l’hiver

    Mascarade à l’été

    Printemps automnal

     

     

     

    (22 juin)

     

     

    Silences