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Silences

 

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Ma main tremble peut-être… j’eus perdu tant de la masse offerte au jeu d’une irisation souterraine - où c’est au bruit du toucher qu’on entravait l’épave. Pourra-t-on y voir quelque part où cette ombre animale nous mène ? J’ai préféré soudain qu’on y défît tout mon miroir ; - le défie ?! « Tous ces gens sont vivants » alors j’atteins ! je vois, je vole ! Abigaël ne faisait que passer dans l’urne à l’abri de tous ses regards. Comment voulez-vous que j’affirme ou me voir affirmer… C’est ainsi mon cerveau qu’on retient et l’expérience que je relativise… le désordre est assez important. Grand plat de spaghettis gluants… (- conduirait nulle part : la corde en guise de sa rampe astrale, SUJET DE HONTE et belle planque) la vie sans ressembler à la mienne, ou l’expression du jour et du saut dans le noir où cette porte claqua devant un mur - le bruit du fond de la matière amassée d’entrevues laiteuses. 

 

 

Autre matière

La lumière absente

Brillance noire 

 

 

 

C’est la trace qui me fait rejeter : chaîne humaine. Les mots qui sonnent sont entendus. - Il y a un grand bonhomme.. un doux visage.. un pot ?, - des pieds comme des ficelles ; ça bigle et ça retient. « C’est en apprenant… - qu’on apprend ! » : deuxième éclat de rire (et souvenir manquant) - plein des endroits dans l’unique caution où discrétion oblige. « C’est dans un petit nez qu’on voit la différence ! » - Arriviez-vous, sans fin ? clamerait-Elle en Archange décisif et tout parfait de l’embrasure des cieux… - J’ai cherché ce saut à la corde… Poudroiements, quel entassement ! Mon Dieu ! (de frais augures.) - C’est pour me souvenir, que j’aurais fait tout cela… mais, souvenirs de quoi ?! Il s’éloigne déjà… : - On verra ça, après ma mort. Merci alors aux morts de bien vouloir cohabiter, merci à ces cabanes rocheuses. Bah oui ! j’ai bien failli détruire ce jeune réseau qui ne servit qu’à me cloîtrer…

 

 

Être soi-même

Belles onomatopées !

Lambris de l’Azur

 

 

 

Merci mon gris ; - mon fils et mon fil, mes fiLs et mes fils - ma fille et le chat d’une aiguille - ma fille, et ma fille à Sa bave des bouches du vieux passage.

 

 

Belle grenade

Du haut de la floraison

Un respect se doit

 

 

 

Au nom de rien.

 

 

Mouroir au miroir

Encorné dérisoire

Miroir au mouroir

 

 

Manchon de l’hiver

Mascarade à l’été

Printemps automnal

 

 

 

(22 juin)

 

 

Silences

 

 

 

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