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Silences

 

 

Mon Amour ! tu es venu dedans - exprès et ton coeur bat à ma rencontre. Il ment et me voilà si seule. Heureusement tu es là, unique à m’attendre, vêtu ou dévêtu de tes embrassements. Mon bouquet fanatique est de la chair épaisse et rose embaumant de la désuétude offerte en cadeau primordial. C’est un monde tellement violent, vois-tu ? que celui que nous partageons où la tente enfante en un droit chemin d’ocre nasal ; il ou lui ? et l’on jugera d’une suite en son fond difforme.

 

« Nous validons. » accordons, marions ; trois couleurs avant l’été, astuces, pharmacopées. Combien sont ici à me lire ? « je l’ignore, j’ai tout boycotté, alors disons personne. » Il fallait lire entre les lignes, savoir prendre au second degré ; croire. Enfin je respire. Salut mon Cher arbre ! Puis-je m'asseoir au creux de ton ombre… ils sont en difficulté. Rien de ce que l’homme accomplit ne put être parfait. Mais alors ?! son accomplissement ?! - tout ce qui s’arrangeait entre eux ? Attends toujours, attends encore…

 

Tempête de sable... cela n’est pas s’écouter soi mais écouter l’autre en soi ; le choc est autrement externe :  de sa longue vie nécessiteuse, nous percevions quelques instants. (15 mai)

 

Silences

 

 

 

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