Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Silences

 

pommes.jpg

 

 

Tempête de sable... cela n’est pas s’écouter soi, mais y écouter l’autre en soi : le choc est autrement externe ; de sa longue vie nécessiteuse, nous percevions quelques instants. (15 mai) C’est le bruit d’un fond véritable. Le mot s’établit en un jour… Il n’a pas appris. Tout est sensiblement moqueur, nous dérivons sans volonté. - Et toi ?, où vis-tu ta vie ? que vécus-tu ?!, lorsque tu lus ce qui s’était fraichement écrit ou déposé ; - ...de quoi en est-ce le sens ? tous ces liens qu'on déchire, sa lumière tamisée du noir.

 

On trouve du rythme et de la force ; - chez ce ver à soie.  Tu rêves, tu l’imagines, le tords dans tous les sens, mais n’est-ce pas ça l’amour… - un arbre seul : j’imagine ; - eh bien ?! tu imaginais mal la somme comme une ingratitude. - Et pourtant quand il persévère, j’imaginerais sa présence belle et sûre. (16 mai)

 

 

 

Les commentaires sont fermés.