Silences

Il fallut contenir ; c’est une matière et c’est la lutte au combat invisible ; - pouvoir dormir… « Je ne sus que me battre, snif. » Sais-tu ?! Je me demande si l'ignorance ne relève pas d'abord du comportement. Il a fallu ainsi gérer des forces ambiantes. Ha ! ha ! vous n’ignoriez pas tout ? en moquant cet amour manifeste, pourquoi en prenez-vous tout mal en faisant fi des profondeurs ; prenez-vous "tout", pour vous : elle est aveugle en transe.

 

 

Ici ou ailleurs

L’absence des souvenirs

Ouvre la porte

 

 

 

Ici ou ailleurs ? sous le poids du certain silence - le train pris par d’autres : écriviez-vous de la merde liquide ? Pourquoi exiger qu’on vous lise, si vous ne lisez pas encore  ! La transparence autochtone et concomitance : il faudra les laisser souffler. - Qu'apportait ce roman ?! l’unique point d’honneur. Il faudrait qu’ils aient eu connu tous l’envie de revenir, de continuer à vivre sur cette Terre ! il s’agirait ici d’un cadre participatif, entendez-le bien ! un tout pour le tout qui diffondrait le seul agent final - un serment troglodyte, l’intégration du sentiment !

 

 

Folie des autres

Habitude soumise

Herbe rebelle

 

 

 

Silences

 

 

 

- Mais non.

 

 

Vérité menue

Le rond du point a passé

Auréolé d’ails

 

 

 

Une ivresse était remarquable, naturellement à leur portée. « Ce qui a plus touché est ce que la jeune fille dit de la jeunesse, et plus intéressé, la réponse d'une auteure à la jeunesse. » : il y a du dévoiement et peut-être faudrait-il en considérer un nouvel élément de rupture.

 

J’aurais voulu qu’un tunnel s’ouvrît devant moi... Quel arbre êtes-vous, plantureux ? (- …comment saviez-vous, mes amis les arbres, que j’aurais eu besoin de vous ?!) La déchirure est grande, le hurlement - naïf : mon coeur est à l’otage - Mon lac ! celui de tes yeux bleus, marrons ou verts. On n’a donc eu le droit, ni de réfléchir, ni de s'approcher, ni peut-être de poursuivre et de compléter.