Silences
C’est ce qui m’intéresse encore. Pourquoi ?! si personne ne te comprendras ? ce que tu crois, face à la tuyauterie du verbe tien - s’agissait-il d’une partition jaunie mais chaleureuse… Pourquoi ?! tout en grillant tes cartes et déroutant ton jeu.. Qu’était-ce qu’une femme qui s’est donnée blottie bleuie.
Valeur ou douleur
Un prix n’est pas à vendre
Tout l’or du monde
Faut-il conclure ? Abigaël récupère un brin d’une atmosphère. C’est toute une parole étrangère : le temps n’a pas passé - une enfant qu’elle était. La richesse du langage avec ce fil que l’on déploie est sa manière à elle d’espacer son courage, d’y trouver le lieu adéquat pour déployer des couleurs vives, celles d’un rêve auquel on aboutit. Elle a seulement le choix d’en vivre. Ce n’est pas quelque chose à raconter, car il n’y a rien, l’espace est vide ou bien absent, no man’s land à mamans, l’interdit d’exister face à la richesse d’un verbe recréateur, qu’on viendrait à taxer d’indécence, parce que la femme en serait cette enfant non grandie, dans son impossibilité à naître d’un langage maternel qui en restera la prison.
L’étage rocheux
La bibliothèque vue
L’inconscient parle