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  • Le Troisième tome

              Les apparences sont alors contre vous : il vous faudra convaincre du bien-fondé de(s) propres propos et intentions. Est-ce toujours la fonction du couple et parentale qui vous fait un problème ? ou de-quoi-je-me-mêle. Vouliez-vous donc cette loi du talion ? seriez-vous un harpon (la harpie ?) d’une tête de file. Ce parent coupable à vos yeux avait-il ce tort d’exister, car vous y observez que tout y fut savamment orchestré d'après votre durée, ni officielle et ni encore totalement sciemment. Ainsi en allait-il d’un exécutif à la clé : pour qui, pour quoi dans aucune demeure… Ce parent aimerait-il ici le plus affectueusement. Soudain pourtant, son erreur énoncée dans un for intérieur, fait écho à ce que vous fûtes et eussiez fait sans un accompagnement à l’envers. Que faire ? appeler au secours ! et qui viendra jamais contrer l’amour sincère, dont vous auriez pu, bien ainsi, être le premier ou bien cette première à vouloir vous défaire de vous en découvrir tellement châtré(e).

     

     

    Le Troisième tome

  • .../...

    En guise de quatrième de couverture,

    le mode Adieu dans une introduction :

     

    Le mode frontal est sans doute assez peu opportun pour aborder

    la délicate matière que vous sembliez pouvoir et vouloir arpenter, celle peut-être de la psychologie des petites,

    moyennes ou grandes familles (sans oublier les saintes) ;

    votre « mission » sera-t-elle compatible avec un métier d’homme

    et d’écrivain, cela paraît pouvoir être ici la question :

    vous pourriez le faire,

    c’est-à-dire  écrire bien un super truc à la louftingue qui resterait une fiction fondamentalement vraisemblable

    (ou vraisemblablement fondamentale),

    se limitant à l’essentiel d’une vérité précoce et indéfinissable respectueux alors du « pourquoi » des autres. 

    Mais pour vous suivre, il faut stalker trop sérieusement

    et puis ça use.

    C’est sans doute encore le moment de plonger

    dans les eaux du mirage.

    Bon vent à vous ! et depuis : bon courage.

    Adieux