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Silences

 

 

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La beauté sage

Hasard des mots parcourus

Rivage herbeux

 

 

Me voici libre !

La main épouse le poing

Tête reposée

 

 

 

Ceci n’est pas un poème. Il y avait eu quelques indices. J’ai bien pu voir passer quelqu’un dans le viseur. - Brilliant ! On encourut l’extase, et maintenant tu sais que tu écris encore.

 

 

Au seuil de la mort

La porte est ouverte

J’entends des rires

 

 

 

Bonjour, mon coeur ! où va-t-on, aujourd’hui ? - avec ou sans la force motrice de ton cerveau. - On s’adaptait toujours à rien : les arbres, aujourd’hui ne sont plus, on pouvait mettre tout en ligne : ce n’est pas sa raison première. Mon minuscule élan n’a pas trouvé sa place entre un bol et la chance à couvert, ou le désert des cieux : le temps n’est plus où je devrais me perdre pour me cacher.

 

Je me sens si petite et frêle, mon coeur aventuré. Je commence à vous lire… je ne vais pas vous dévorer, ne soyez pas inquiets. - Madame, pourrai-je vous voir à Lyon ? Non, car vous n’y avez pas montré patte blanche.. Psychologie de comptoir ? et pas d’adresse à dévoiler ? - quel empoisonnement lexical !

 

Luna s’empoisonnait de l’invasion des autres. Son nom portait bien sa couleur, dans le beau nuancier d’un colombier. Dumiel, en français passait bien. On y entendait formidablement. Mais ce peut être plus biliaire dans un langage où le fil est fangeux. Elle s’y attachait au dos de son père.. un homme si valeureux, d’après elle. Une onde poivrée auréolait son nez charmant à l’idée qu’on la contredise sur la question (- mais, pour quoi faire !)

 

On imaginait le pain chaud. L’odeur qui se reconnait sans rappeler dépassait la frontière nationale. Le pain reste le pain des autres. Lorsque le fumet au détour d’une rue, de la bouche confondue dans son mystère avec l’égout, n’était encore qu’un rêve, il n’est alors plus l’heure de faire halte pour consommer, de s’arrêter au contact des boulangers, qui seront d’abord à trouver.   

 

 

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