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Silences

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Je suis à l’intérieur du corps de l’oeil. (24 avril) « Ici vécut Luna. » Impression du jour, danse de petit soldat tangible. Ainsi, naquit Luna ?, ce ne seraient que ces silences… - Très cher terrain - jardin de beaucoup d’hommes, j’ai revécu la mer - songeant à ceux qui ne l’ont jamais pu. C’est un peu tous les jours avec une idée vagabonde, dans un surseoir à la pensée qui blesse... « Ce serait une vieille sèche. », Je m’intéresse : - Que faire ?, où qu’opposer ! comment bien vérifier, ou s’assurer de n’être jamais seule - tout est alors si rond déjà incontournable (- t'avais-je donné ma peine..)

 

Pareille légèreté qui divisera serait ici trop contraignante. Tout le monde s'en trouvera d’accord, ou en aura déjà tremblé : je ne m’aventurerais plus. Il veut cogner ?, ça déconcerte... « Des fois, on s'en voyait ! » il faut alors foncer dans le tas au quatrième degré - ta peau, enflée d'une épluchure... c'est tout l'affaire des polissages, où j'ai planqué ta barre : c'est la structure, qui en serait mathématique sans une place pour des filous. Comment savoir dans l'os ? rien, n'y serait pas supportable - plaisir des yeux ? ou, comment reproduire ; il faut encore pouvoir sentir. (25 avril)

 

Silences (en cours)

 

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