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La proie de nous deux

Oubli de page blanche

Rire casanier

 

Une académie

Relai d’aucune saison

Marque de son fer

 

Sans exhortation

Le dessein des sourdines

Parfume le plat

 

Un roseau flamboie

Cet autre parmi l’autre

De la main pâle

 

Ces trois dimensions

De la vie dans la tête

Bogue de marron

 

L’envie n’envie pas

Lâcher de corde raide

Lave mortuaire

 

Beautés d’abandon

Tout à cet horizon droit

Des chemins ocres

 

La surface lue

Scintillante image

D’un amour courtois

 

La rive parue

Main de nu sans tremblement

Un gant retiré

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sauvetage sauf

Le jeu s’en trouve lesté

Canne à pêche

 

Fleur émoustillée

Le pistil est au centre

Recto-verso blanc

 

Inséparables

Seul duo des deux vertus

Qui sont les lèvres

 

Paroles en bois

L’eau courante et lisse

Plein de petits pas

 

Le sabordage

Art de tout gâcher naïf

L’attente du neuf

 

Têtes hors de l’eau

L’intuition est de mise

Sphère plumeuse

 

Tout le va-et-vient

Depuis un cerveau spongieux

Bleu de la plage

 

Des arbres fleuris

La secousse des vagues

Belle racine

 

Présence sacrée

Tout est calme aujourd’hui

Le ciel est changeant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À bout de souffle

L’impression emportait tout

À part l’osmose

 

Adressée à qui

La fleur du matin jaune

Tendres émules

 

Encore meilleur

Le refus de l’abandon

D’amours aveugles

 

Tour écartelée

La boussole douce va

Irisée d’air pur

 

La trace du creux

Impasse normative

Usager des mots

 

Correction hardie

L’ombre est harassante

Second appétit

 

Silence obtus

De la muette aveugle

Encore ici

 

Surprise et joie

La langue du chien surprend

Un faisan pressé

 

De bonne grâce

Et la mousse des âges

À rebrousse-poil

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un bloc de larmes

Inconscient du désespoir

Pas de peaux mortes

 

Ecrire au temps

Le vent dans le voilage

Déchirera tout

 

Aucune pression

Le bêlement de l’agneau

Un coeur en fête

 

Inoubliable

Parfum de la violette

Jeunesse trouvée

 

Ressenti d’espoir

Tablée de gens honnêtes

La veine au fond

 

Avoirs de l’encre

En cherchant le gant perdu

Tous les quatre pas

 

Libres de foncer

Monument historique

Effort redoublé

 

Lâchetés fausses

Un vrai sourire radieux

A fait l’aumône

 

Attentes de rien

Il vit dans un principe

Le vortex amer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enfant bien conçu

Opération gentille

Le lac est gelé

 

La vie est lourde

Peaux d’un ours sur l’épaule

La bougie brûle

 

Gouttes de la pluie

La vie des dieux renfermés

Fraîcheur de l’astre

 

Le chemin très long

La traversée vitale

D‘ailes légères

 

La vie de l’autre

Celle que j’aurai connue

Celui que j’aime

 

Petites souris

La vie rentrait à peine

Dans son mystère

 

Fortes ou faibles

Est-il alors possible

De mourir ici

 

Sommeil partagé

Que la flèche du réveil

Coupa en morceaux

 

L’énergie perdue

Errance désorientée

Onde cosmique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La clé à la main

Tronc du flux vertical

Un très court instant

 

Personnalité

Ressource invertébrée

Or noir du désir

 

Bel âge porté

Charme de la besace

Onomatopée

 

Le travail du tri

Est fait dans l’aube blanche

Telles aiguillées

 

Ressource blanche

Ancrage du langage

Et pas encore

 

Penchée par-dessus

La fenêtre ouverte

Eblouit les cieux

 

La mort s’est enfuie

La lune d’un seul témoin

Au désastre gris

 

Les pas dans les miens

Assurance du monde

Informulable

 

Sortie du gueuloir

Un esprit vagabonde

L’armure belle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Valse dépassée

Périmètre du ventre

De poupées russes

 

Geste de l’amour

Epaule douloureuse

Réconcilie tout

 

Un sommeil léger

De ces nuits transitoires

Aura de l’oiseau

 

Autrement gâtée

L’existence a renié

L’orage vierge

 

Femme du peuple

Le bon sens s’est invité

Dans la pénombre

 

Lisibilité

Contrôle harmonisé

De sa propre vie

 

La chair encombre

De feuilles accoutumées

Un résultat froid

 

Rose ou rouge

Revêtement au couchant

D’eaux qui se déplient

 

L’effort est clément

Les ruisseaux de la terre

Vont se rencontrer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avoir loin de tout

La mer bientôt cruelle

Un océan cru

 

Le cerveau buvant

Un cheval imaginé

A bien pu le voir

 

Lenteur de récit

Les esclaves au coeur seul

Ont bien rapporté

 

Le présent péril

Des murs qu’on apprivoise

Le parfum des lys

 

Sentiment du beau

Inspiration du neutre

Beaux équilibres

 

Jamais rien pu voir

Celui qui communique

Depuis un enfer

 

Quitter l’espace

Où l’autre a sa place

Encore pas soi

 

Ciel des rencontres

La concentration suffit

Reprise d’un jour

 

Mal représenté

Le beau voyage dicté

Par une lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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