Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Silences

     

     

     

    dessin .jpg

     

     

     

     

  • Silences

     

    Ce qui m’intéressait, c’était l’abattre unanimement ou symboliquement, unie dans un pétale isolé du reste alors sans conséquence : la Littérature est bien cet enfer ou sa prison. Mais le soleil s'y lève. J’ai pu y voir très vite ce qu’il s’y passe en regardant votre dessin. Vous l’aviez terrifiée, sans l’entregent douteux des étables noueuses quand elle ne sut extraire de vos pensées l’enfant qui dans son coeur avait commis l’erreur au point fatal qu’il fallait annoncer à-côté de terreurs nocturnes : tout cela fit que ce que je faisais serait donc mal anticipé dans une inanité dangereuse.

     

    « Que cherches-tu ! Qui te protège ! » personne avec un absolu désespoir où la concentration dévolue à l’effort était non commentée, les mots qui désencombrent… L’emballement faisait bien défaut tandis qu’un peu de vision neutre obligea toutes ces femmes - filles - êtres aphones… C’est d’ailleurs le vieil homme autour de sa récolte avec une oreille droite quand dans l’arrière-salle enfumée j’aurais écrit sur l'autre table.

     

    J’ai continué comme ça dans l’ombre sale : j’aimerais avoir une vie qu’on encourage. J’ai bien prouvé de quoi je fus capable : pourtant. Mon Cher jardin ! La jolie paume. (26 avril)

     

     

    Silences (à suivre)