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Verbatim 1
Le texte est né sur un portant de barricade : j’avais voulu revoir mon père. (p. 5) Je n'aurais pas la force encore : « ça passe ou ça casse », c’est comme ça qu’on dit ?
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Verbatim 1
Le texte est né sur un portant de barricade : j’avais voulu revoir mon père. (p. 5) Je n'aurais pas la force encore : « ça passe ou ça casse », c’est comme ça qu’on dit ?
12 - La retenue
La retenue de soi et (ou) cette impossibilité de dire vraiment le fait dont une particularité est d'occuper la place et de toucher l'esprit assez en profondeur voire secrètement, feraient que l'isolement d'une personne peut devenir total. - …espèce de ! espèce de ? Couverture de déménageur !!!!! J’en suis sorti… - grâce aux phrases qui ont accouru, j’en suis sortie : elle n’écrivait donc pas pour Elle ou Lui ou des minus ou des gens embarquées parmi les navettes coulées dans le carton qui ne s’en seraient plus trouvées fardées, quand Elle ou Lui en furent avérés Vrais, tandis que notre Eve eut appelé : « ...mon amour ? » et qu’il s’en fut suivi tellement de son amour perdu dans une authentique masse obscure.
- C’est là que j’ai trouvé cela intéressant, tu vois ? même si, pour un budget breveté : que-dalle ! j’ai continué d’écrire et ne me rendrais alors plus chez toi - l’arnaque a fait son temps ; dis-moi, sous un angle savant : croyais-tu vraiment que j’allais avoir eu besoin de toi fait d'ombre statutaire ? - …il y avait eu au moins déjà, ça comme suite. C’est à mon rythme qu’elle s’entendra et sera entendue parler : Vive la France ! la base du grand regain…
Ce n’est évidemment pas du français facile. - Ah bon, pourquoi ? - J’ai travaillé dans l’ombre et le froid viscéral, il faudra faire avec, ou dans une ouïe de pacotille… - oiseau, enfant et animal rampaient assez puissants dans le limon sauvage du lit patriarcal. Ha ! Ha ! Ha ! la somme d’extraits au regard de femme, l’air du temps qui cachait mal et ramait peu. Pour qui !?????! pour quoi ? feux éteints d'ambre bel azuré, j’écrivais gros et me sentais libérée des méchants (- moi, je ne voulais rien faire à Paris. - Et pourtant, tu y faisais tout…)
Les petits poissons
Dans l’ombre de l’histoire
Gaîtés de l’enfant
Mon oeil est tacheté : - je cherche la combinaison. - …ça y est ! je crois que je choperais sa bonne tonalité - cela qui fait sourire en fondant au soleil, la graisse et l’herbe dans un mélange fumeux. J’y résolus mon écriture comme un problème. Votre blessure est ascendante. Ascendance ?!, oralité des biens offerts. (Bouche-toi les oreilles.) « J'ai cherché de plus grands à aimer, l’infante est là de porcelaine au sourire de fer à croquer. »
Protéger la poupée ? de l’esquisse rédhibitoire, oubli des yeux grands et humides noyés parmi la nasse. Chavirer, moi ? Jamais ! relais des relents de ses impressions. La petite enfant semble en bonne santé, son sourire assez large, présent dans une image et peu visible enfin ; une attitude octroie : on a fait valdinguer sa moitié viscérale ou digitale. « N’y vas plus, n’y crois plus, ne l’attends donc plus secondaire », pense à songer seulement. « S’il a tenu à toi, tu reviendras » tout homme acidulé dans cette chape obscure assimilée.
- ...et les mauvaises langues ? ce ne sont pas de mauvaises gens : épuisement de la naïveté enfantine à l’espoir des retours sereins de leurs attentes préhistoriques, paranoïa du genre... ; elle respirait encore.
Définitive
Exercice de style
Coeur profond en joie
Midi a sonné
Belle à son escorte
Une maisonnée
La porte claque
Autorisation en cours
Les ombres givrées
Le temps du Tic Tac
Repos de la confiance
Jusques à demain
Un double encart
Les adieux réciproques
Mort indivise
Caricature
Les mots pour ne rien dire
Ce n'était pas nous
Livre de l'adieu
De ce devoir accompli
Nous ne dirons rien
La laisse tenue
La liberté offerte
Pourtant jamais crue
Les mots reviendront
Flux de ce passage vu
Belle vie à eux