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Silences

 

« J'ai mis un smiley qui rigole, mais c’est pour vous, Timothée et votre image et non pour celle que je n'aurai connue qu'à travers quelques extraits et interviews ou entretiens, dont ce qui suit - où j’ai trouvé grave que l'auteur en question y condamne ou rejette la pratique d'un français écrit ou littéraire, qui est bien à mes yeux le dernier rempart à la dépossession de soi, et qu'on devrait au contraire s'attacher par l'exemple, l'éducation et le partage, à édifier comme arme ou au coeur de la vie, afin que chacune et chacun qui en aura besoin, puisse un jour s'en servir, quelle qu'en soit la forme adaptée, ou adoptée. »

 

 

Il revient de loin

Le bruit de ce pas neigeux

De feuilles mortes

 

 

 

Mon Cher ami, la Chère défaite… au contraire du pilier d’érables, j’aurai bientôt soufflé - rendu le dernier souffle et le sais en avant : ça n’ira pas ! Ma vie s’est cantonnée, on m’a dit que j’ai quatorze ans ; chacun s’est donné l’âge du choix, sien désormais ? Donnez-moi vos consternations, dominez cet élan voleur, je vous en prie ! venez me voir où la poussière est dense, où le coeur est à l’abandon : venez dans l’espace du tendre, le gras de l’ancre à cette admission d'une goutte d’eau bleue. Je vous embrasse, Luna

 

 

L’âme pesante

Chargée comme bourricot

Souris de ce pleur

 

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