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Silences

 

Page après page : quel ennui fastidieux ! Abigaël aurait bien tenu son crachoir. « Je vis dans un trouble étrange, désormais visible. », on n’y voit pas la moindre lune… Il t’attend là ; retrouver le centre ? Cinq octobre, des pages introverties interverties dans la puissance de l’oracle, de bien réels accoudoirs - où tout crisse et grince : on ne put côtoyer personne sans se l’assimiler et réfléchit au fumet cuisiné d’encens à la lueur d’octaves, positive à des pages tranchées poreuses - aux autres feuilles volantes sous-pesées bientôt comme un or et la cacahuète, où si j’avais eu déjà à y penser, cela l’aurait été sans fin. Aloïse entouré de tous ses moyens - j’en sublimai ainsi telle ombre noire - …quelle en serait la distance heureuse ?! d’une expérience expérimentale, un travail est d’abord le seul travail qui plaît : hacher sa viande ?

 

Repose-toi de tout - une haine exacte ! Aloïse a bien cru encore : « Je me défends du vice… » (un vice assez charmant), nous serions payés à la page. Ce furent des heures et des heures et des heures de quoi - à repasser la même image : Abigaël venait sans jamais rien échafauder, le rejoindre dans son silence, en y cochant son blême. « Ils vont me protéger de lui, de cette aura fatale. » Ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! nous n’avions pas su profiter, cela fut effectivement triste, l’avancée du nom sans entrailles.

 

 

Vie chocolatée

Le pari d’une histoire

Belle sirène

 

 

Pommes de ouate

Un machin dans la gueule

Divin aiguisé

 

 

 

Je respirais fort, on s’en aperçut vite - la peau du bel albâtre.

 

 

La phrase perdue

Je te l’aurai offerte

Présent entendu

 

 

Envie d’arriver

Uriner dans l’eau tiède

Ensemble vaste

 

 

Tabliers rendus

Le rideau est un masque

Tel écran aussi

 

 

 

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