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Silences

 

Je ne rapportais plus d’argent, seulement j’en rapporterais et fus sans dot. Une barre de pression s’installait assez hautement : j’apprenais à y circuler toujours aveuglément. Quel est « un résultat » ? on l’ignorera : - gentil bouc émissaire ? dans un grincement partout offert à la face aplatie repassée, je cherche encore sous la dictée d’une poignée de fer déjà rouillée : un petit coeur sans joie opère avec la joie - les joies ; les joies - la joie.

 

Je dois détendre, c’était ailleurs la loose dans un effet miroir démultiplicateur : forcer ne servirait ici qu’à tuer et l’on décloisonna. Il faut centrer l’idée pour y poser la fleur. L’énergie vient encore et le passé s’invente : tout ira bien. Je renforce ma dignité avec « le sentiment de ». Il ne fallait pas croire que cela fut facile ou encore se moquer : je me sentis fantôme à côté d’autres dont la route me parut longue. Elle irait bien pourtant… se portait en vibrant avec les autres arbres, pourquoi pas. C’est un anonymat génial tandis que moi je suis en guerre et ça fait mal : on fait si rarement attention à l’autre… Les astres sont méchants, tout se brouille - ils, ou eux sont morts, alors n’abandonne pas ! Au fond du trou logerait l’essence, ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! on s’habitue à son petit pécule intellectuel. Je vais poursuivre ici dans l’attente du pire et n’en peux plus : je suis à vif. Merci pour la solidité de ces dessins. (8 juillet)

 

 

 

 

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