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7 - Qui et Quiconque
« Pardon si ce n’est pas clair.. Et courage à vous, aussi à vos parents, que vous devez aimer plus que quiconque, je crois, pour pouvoir en passer par là. » La balle au centre - ...faut pas déconner. ADIEU ! car je suis habitué à perdre. Venant de qui, une brise légère apprêta le voile. Es-tu folle à ton tour ? Dans un angle latéral, logeait la demi-douzaine d’hommes, un filet rainurait, quelqu’un baissa le son. - Aimer, c'est considérer. - Mon cul ! La peur vint à ses bottes, je récite et tu racontais, nous serions démultipliés ; à part ça.
J’écris ce qui vint au contact et le décris à ma façon ; il n’y avait rien de très choquant à cela : l’histoire serait déjà ancienne. Mon besoin de reconnaissance était tout ce qu’il fallait fuir car un piège n’était jamais loin, intraduisible. L'on y exportait tout (- dès qu'on s'approchait, c'était cuit.) Je donne, et je perçois. Les gens ont tendance à penser alors j’aurai tenté d’être à l’écoute de mon propre corps et de mon propre sang. Il n’y avait rien, rien du tout de l’autre côté du monde.
- C’est une façon moderne… C’est facile de se faire des amis, mais pourquoi en rendre. D’où vient le flux. « Elle écrit d’une façon extraordinaire, mais à laquelle on ne comprend rien. » Le badaud compressait : on était rectiligne et l’on ne vivrait plus. Eve connaissait par coeur le barreau.
Anorexique
Gravité de ce parent
Paroles en l’air
Archi.
Idéalisées
Création ou castration
Notes intimées
Un cerveau de nappes tachées se rencontre à la réception. Tout imbibé du moi des autres, il s’est refusé d’abonder exempté de l’inspiration et puis s’étant retrouvé sans forces. Les mots sont abondants lorsqu’il s’y noie torsadé au milieu d’un tapis de nattes étrangères auxquelles il n’a pas touché. Uh ! uh ! petit cheval à l’oeil de terre, sois bon et pense à être fort.
- Il épanchait mes yeux, de ses doigts vers moi... « La raison que vous avez de vous exprimer, est de les empêcher de recommencer : sur un mode ou sur un autre ; le plus difficile est peut-être de voir et de vivre après ça. »
Sous la violence du choc, une douceur : - …à quoi sert-il d’écrire, la tête dans une atmosphère ? à y respirer ? Je suis fatiguée versus je me repose. Il vivait à Paris, mais loin d’elle (loin de personne), blé fauché de ses phrases : Elle va comment ?! - son influence (zone d’influence)… - Fais-toi plaisir. (Putain de vicieuse.) - Il faut que tu saches : j’ai vidé tout mon seau.
Ses yeux hors de la tête dans son vide toujours carcéral, Elle restait là debout postée dans une stature d’alien mériméenne : j'attends ma mort à moins qu’il ne sache ce qu’il fait et pour la meilleure cause (- …ce qui peut s’espérer).
« C'est peut-être le procédé d'une exagération nécessaire où vous forcez le trait qui rend l'histoire abjecte, comme si vous y preniez alors le parti pris de raconter (à) vos parents à travers l'ombre qui les traverse qui est sans doute à l'origine de ce que vous avez souffert en partie. »
« Le mieux est l’ennemi du bien », pas le meilleur : arriver sans rien, mais sans risquer de faire de l'ombre ? Les émotions sont vives, sorties du carquois pauvre en flèches. - Ah ? vos parents sont morts. - Oui tandis que je les aimai éperdument.
Assurance assurée - encore, pas de femme. « Je n’appelais plus personne, je n’aimais plus personne. » Pas une autre femme.
Un garçon gobe
Petite amulette
Singe l'amoureux
Arrêt du savoir
Face à l'aube si claire
Un destin heureux
Paris en un jour
Liane désirable
Quand jeter les dés
Assassins du jeu
A quatre yeux distancés
La tyrolienne
Je te déteste !
L'amour défait dans le noir
Espèce de creux