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Jusqu’à sa mort lointaine…

 

 

          Tu ne devrais pas, dans l’espoir de perdre - t’y aventurer : il y eut bien sûr ceux que j’aimais… mais, toi ! tu es allée trop vite ? « - Je n’ai jamais lu. » - …comment ?! « Ce que vous vouliez dire, c’est : - pardon ? »

           Eve en magnétisant pour lui parler, cachait mal son sourire et l'homme crut ainsi la voir qui ricanait dans un scan. « J’adorais ça : ceux-là. » La scènette acclimate, du son d’un orgasme cérébral. Toute angoisse inutile, comment puis-je la nier ? « Rougir sans « o », ça fait « rugir » : ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! » Silence de mort. « Penchiez-vous pas pour le droit au péché ? » C’était une autre fille, on n’irait pas bouger.

           Eve, en rudoyant cette espèce vertébrale rentra son ventre et susurra béate : - …c’est quoi déjà, votre prénom ?, mon mâle - ton chic. Je me glissai dans l’urne à chaussettes orphelines sans ôter l’ombre de satin, le noir projeté fit bien lustrer mon oeil en bandoulière, tandis que j’ai vécu du temps des miniatures. Je m’esclafferai dans un sac à farines, devenu vieux époussetant de la surprise jouée vague après vague ou les pieds dans sa vase blanchâtre.

           « Avec ma maison sur le dos, j’avance comme un escargot ; c’est ici chez moi, lorsque je rentre et sors de la maison. » C’est à vous ! Je t'adresserai biblique. Dans le semblant d’une histoire creuse, nous n’avions pas prévu d’erreur. Il va revenir...

 

L'alternative

Attachement au bourreau

La propre erreur

 

La lune amie

Soleil indissociable

Vie de mortelle

 

 

          L’infirme fruit de ta conscience, pelliculé par tant de souhaits - formerait un noyau ; couvrir et l'assurer, à vie ? STOP OU ENCORE... La rébellion dans un atome où tu vaquais à prendre tes dispositions. 

 

Dans cet ombrage

S’épanchera son amour

Vigoureux tandem

 

Cent années folles

Selon ton éternité

A se désirer

 

Fête Joyeuse

Cette route dessinée

Des hirondelles !

 

 

          Il a fallu que tu te sauves et m’enseigner ici l’amour sans  l’inimitié souveraine. Il a dû retrouver ton souffle et m’a prise dans ses bras, cet arbre - mon prunier le plus grand ; c’est encore une musique qui s’écrit là. Je n’ai pas besoin de la ville, mon astre conquérant n’a pas vécu la veille.

 

Son très grand Amour

Amour de ma vie sauve

Tel engendrement

 

 

          ...il a fallu s’impliquer : nous aurions eu l’autonomie des étoiles pour horizon, embrasement déjà obscur du ciel qui nous côtoie, ta langue verte et ses attachements. Je me suis trompée de partage : il faut cesser d'illuminer tout ça qui gravitait ensemble sur cette terre ; on dit parfois des choses quand elles ne sont pas vérifiées.

          Je te vois - vis, espère et puis je viens ? assez faible coutume. Je ne me souviendrais pas même encore des gris du temps qui passe… pourquoi veux-tu toucher ? sérieux, mais pas sévère. Le chat dont j’ai besoin n’est pas né sans l’orage, j’attaquerai TOUS au risque d’y perdre la trace et courage : étang des morts, une seule femme - tout un lieu dans l’absence des mots qui s’ignoraient si mutuellement ; je meurs. Il suffisait que je taille mes outils - l’inconsidération même, « et sinon ?! laisse tomber. »

 

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